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Question 2: L'examen de la politique étrangère de 1995 et après

À la lumière de l’évolution de la situation mondiale, le Canada doit-il continuer à orienter sa politique étrangère en fonction d’une stratégie reposant sur les « trois piliers », ou doit-il plutôt rechercher un nouvel équilibre?

 

 

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Participant:1464
Date: 2003-04-19 13:01:45
Réponses:
Je crois que les priorités dont définies à l'envers dans les deux premiers piliers, ce qui influe beaucoup sur la politique à tenir de notre gouvernement. L'on n'atteint pas la sécurité nationale sans le cadre mondial stable énoncé, et c'est sur cette stabilité internationale qu'il faudrait d'abord porter nos efforts. Un rôle de médiateur siéd très bien au Canada, qui peut se targuer d'un honorable bilan international.

De même n'atteint-on pas la prospérité sans l'emploi ailleurs dans le monde comme ici. C'est donc sur l'emploi que l'on devrait travailler, puisqu'on sait très bien combien la prospérité d'un pays peut ne pas se réfléter chez une population, ce qui n'amène alors pas de résultat valable. Prenons un cas où un pays peut être dit prospère, mais en même temps abriter un nombre effarant de démunis. Ce pays ne serait pas équilibré et risque de ne pas être stable non plus, ne répondant plus aux exigeances du premier pilier.

Quant au troisième pilier, pour autant que les valeurs de la culture canadienne soient définies, je n'y voit qu'une objection, c'ets qu'il me semble qu'il y a au pays à tout le moins deux grandes cultures distinctes, sans compter celle des premières nations. À vouloir toutes les défendre de par le monde, je ne vois pas de problème. À en proposer une comme étant l'unique culture canadienne (celle anglophone), je crois qu'il y aurait péril en la demeure, car on ne respecterait plus les minorités (francophones et aborigènes) selon le respect qui leur est du.
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